A en croire RFI, conforté par l’AFP reprenant les grandes lignes du réquisitoire du ministère public ; la partie béninoise, aurait tort d’espérer encore voir la justice française accéder à sa demande d’extradition de Patrice TALON et de son bras droit ; n’en déplaise à Me Charrière Bournazel, avocat de la partie béninoise, qui n’aura de cesse à rappeler le caractère démocratique de l’état béninois et le bien fondé de sa demande.
Même si juridiquement ; toutes les parties ne seront fixées que le 4 décembre prochain ; l’homme d’affaire béninois pourrait dormir tranquille ; il n’est pas prêt d’être extradé au Bénin.
Le pouvoir de la refondation, n’aura plus qu’à concentrer ses efforts sur les autres procédures engagées contre l’homme d’affaire béninois, en France, tout comme ailleurs en Europe.
Mais que YAYI BONI ne vienne pas se plaindre d’être taxé de faire une fixation sur TALON, tant l’harcèlement dont lui et son pouvoir font preuve à l’égard de l’ancien financier de ses campagnes, commence par s’apparenter à une obstination maladive et inquiétante.
Al Tricky !
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