Non je ne suis pas anti-Yayi ; mais pro béninois !

La revue2analck  s’est vue accusée d’avoir publier un brûlot sur le discours de candidature de BONI YAYI à travers ma note, Alea jacta est  Yayi Boni dans le texte. postée le 31/01/2011.

Je tiens à préciser que personnellement, je ne fais de fixation sur le Président YAYI BONI et je ne suis pas partisan du TSY comprendre Tout Sauf Yayi.

Je ne fais pas non plus d’une obsession maladive, le départ de Yayi Boni – si départ il y a – car je ne suis pas tributaire du vote des béninois, qui peuvent parfaitement – des précédents existent dans notre histoire politique – réélire le   candidat Yayi Boni.

Mais je ne fais que porter, mon analyse sur l’action politique de quelqu’un qui vient de diriger le Bénin pendant cinq ans. Et l’épicentre de cette analyse, c’est justement « les faits d’armes » du président sortant durant son mandat.

Non pas que, je n’ai rien à dire sur les propositions des autres candidats à la présidentielle, mais ils ont l’avantage, de n’avoir pas encore été à l’épreuve du pouvoir. Du moins, pas dans les mêmes conditions que le président sortant. Ni dans la durée, encore moins dans la plénitude des pouvoirs.

Il y a certainement à redire sur les programmes des uns et des autres y compris sur les propositions, de celui qui serait probablement mon favori. Mais pour ce qui les concerne, ils bénéficient du privilège de leur condition et de leur statut par rapport à l’exercice du pouvoir.

Ce privilège, malheureusement, Yayi Boni ne saurait y prétendre ; pas de mon point de vue en tout cas.

Et même si tout n’est certainement pas à jeter durant ces cinq années sous Yayi Boni – il m’est d’ailleurs arrivé d’approuver certaines de ses actions  -  force est de reconnaître qu’il faudra vraiment s’y mettre pour pouvoir les mettre en exergue ; si toutefois ; les différents  scandales ; n’en ont pas effacé les avantages.

Le président sortant, doit pouvoir répondre de son mandat et en assumer les conséquences qui pourraient en découler quelles qu’elles fussent. Pour moi, en dehors de toute autre considération et attribut de circonstance ; c’est ça être homme. Et pour ça aussi, il y a des précédents dans notre histoire politique.

Maintenant, s’il arrivait que je raconte des inepties, ce qui est fort probable, puisque nous en avons tous un quota, qui finit par transparaître dans nos discours. La modeste tribune de la revue2analck est toujours là pour recevoir vos droit de réponse. La revue2analck en a d’ailleurs fait un principe « Parce que vous ne pensez pas pareil que nous ».

Ceci étant, nul ne saurait objectivement et en toute sincérité, me chercher noise, pour avoir trouver à redire sur le pouvoir de Yayi. L’intéressé lui – même l’a publiquement reconnu.

La valise de prospérité s’est coincée.

Yayi Boni a du ajuster et aviser, cinq ans durant.

Et si jamais, la valise n’arrivait pas à s’ouvrir durant le nouveau bail de cinq ans qu’il demande aux béninois ?

Ne serait-ce peut – être la nature qui en aurait voulu ainsi ?

S’il est une chose que j’ai retenue de mon insignifiante condition humaine ; c’est que rien n’est dû au hasard.

Qu’il vous souvienne, que lorsque Pandore finit par ouvrir la fameuse « boîte » à elle confiée par Zeus ; il n’eut pas que du bonheur qui se répandit sur terre.  

Al tricky !