Qu’il nous rappelle, qu’au soir du 13 mars dernier, la chaîne Africa 24, avait organisé un grand débat portant justement sur le scrutin du jour.
Aussi me plaît-il, de revenir sur une séquence peut-être passée inaperçue, aux yeux des téléspectateurs béninois, mais certainement pas à ceux de votre serviteur.
La magie des images aidant, je me permets de revenir sur ce bref épisode.
Au fait de la discussion qui opposait le camp du président Yayi Boni et celui du candidat de l’Un représenté par Alain ADIHOU, ce dernier s’était épanché sur les irrégularités constatées sur le scrutin.
Certainement indigné, par les propos du représentant de l’UN ; le président de la Céna, essayant autant que faire se peut de sauver « sa maison et son œuvre » avait eu cette réaction aux allures à peine voilées de menaces.
Depuis, nous savons ce qu’il en retourne, ainsi que des responsabilités, assumées ou non ; des uns et des autres.
Les carottes sont cuites. Nous n’avons pas eu notre mot à dire sur la cuisson. Les cuisiniers en chef ; nous les ont faites absorber telles quelles.
D’un autre point de vue, les échéances se sont également écoulées, et avec elles, les raisons légales d’existence, de l’institution électorale.
Le rapport final de son activité aurait même été remis à l’autorité de droit.
Aujourd’hui plus que jamais, puisque nous savons le sort, désormais réservé au potager par le jardiner; nous nous autorisons, l’outrecuidance de rappeler le président Gnonlonfoun à sa bonne parole.
Alors monsieur le président ; êtes vous enfin décidé à « parler » ?
Al tricky !
Commenter cet article