Actuellement en voyage aux Etats-Unis, c’est entre autre ce qui ressort de l’entretien accordé par le trublion militant du PDCI-RDA à Jacques ARISTIDE de la Voix de l’Amérique.
Ainsi donc les quatre frondeurs du PDCI-RDA, qui ont osé s’opposer à ’’l’appel de Daoukro’’ qui voudrait que le parti historique d’Houphouët BOIGNY s’aligne d’entrée pour ouvrir la voie d’un second mandat à Alassane OUATARRA, ne prennent pas à la légère leur brocarde .
Prenant à témoin l’histoire du plus grand parti de la Côte d’Ivoire, ainsi que la logique démocratique de tout parti politique, qui aspirerait à diriger au risque de se désintégrer ; Kouadio Konan Bertin a révélé , sa résignation et celle de ses pairs frondeurs à contrer la candidature imposée d’Alassane OUATARRA aux prochaines présidentielles en Côte d’Ivoire.
Toujours selon l’impétueux homme politique ivoirien, Amara ESSY, Jérôme Brou KABLAN, Charles Konan BANY et lui –même ; se consulteraient pour essayer de trouver la solution idoine ; à même de leur permettre de désigner si possible, un des leurs pour s’opposer à ce qu’il désigne comme la politique de vengeance qui serait pratiquée actuellement par le président ivoirien.
Car au-delà de l’aversion de KKB pour l’appel de Daoukro, il y a aussi une contestation de la politique mise en œuvre par Alassane OUATARRA, notamment quant à la réconciliation nationale, qui motiverait également la position de KKB.
Une position qui se fonde à ses dires, sur sa conviction que le candidat PDCI serait en mesure de battre l’actuel président ivoirien, n’en déplaise à HKB qui ne saurait jurer toujours selon KKB; d’avoir rallié à son appel la majorité des militants du vieux parti d’Houphouët BOIGNY.
Pnerval !
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